mercredi, juillet 19, 2006

Mea culpa

Voilà, il y a bien longtemps (!!!), je créais ce blog dans le but de faire vivre mes textes, qu'ils ne restent pas bloqués sur un bout de papier au fond d'un tiroir...
Entre-temps, nouveau boulot et occupations diverses obligent, je n'ai plus réellement pris le temps de vous alimenter de mes mots (que c'est prétentieux !! :)) ).
Alors maintenant, je vous le promets, je vais tenter (!!) de me réveiller et de vous proposer plus régulièrement de nouveaux posts... En attendant, je vous invite à vous affilier au lien RSS qui vous tiendra au courant en temps et en heure de l'évolution de ce blog sans que vous ayez à venir voir 15 fois par jour si un nouveau post est arrivé ! Economisons nos doigts endoloris par la chaleur et les clics de souris...

A très bientôt ... "promis" !

samedi, avril 08, 2006

Blog à part ! L'île aux plumes...

Voici la naissance d'un petit blog... Vous pourrez y suivre les duels de deux jeunes donzelles en quête de mots !
En d'autres termes, venez lire des petits textes ficellés par ces deux demoiselles à la plume aiguisée et à l'imagination débridée.

Bienvenus donc sur l'Île aux plumes ...

jeudi, avril 06, 2006

Remise en question ou Le syndrome est de retour...

Suis-je vraiment faite pour ça ??? J'aimerais tellement écrire et ne plus pouvoir m'en passer... Seulement voilà, une fois la feuille blanche devant moi, même si les mots en eux-mêmes viennent assez facilement, j'ai l'impression qu'ils arrivent dans ma tête sans but précis... Les mots sont là, oui, mais pourquoi ne mènent-ils à rien ?! Tout reste stérile et ne conduit nulle part !
Alors, la question que je me pose, c'est "Suis-je vraiment faite pour écrire ?!"... Ca me paraît toujours si confus et flou que je ne vois jamais ce qui se cache derrière les lettres. Et quand bien même j'arrive à tirer quelque chose des mots qui me viennent, ça me semble tellement difficile et fatiguant... Et le texte paraît tellement creux et sans intérêt...
Je me dis parfois que ce serait plus facile à deux... Mais serait-ce le cas ?!
Bref, pourquoi s'obstiner ?!?!

jeudi, mars 16, 2006

ON, Interrupteur littéraire

Voici un nouveau mensuel littéraire gratuit par les pages duquel on peut passer pour publier ses nouvelles (sous certaines conditions, bien sûr)...

mercredi, février 15, 2006

Atelier Jodoigne - Part VI

Elles se retrouvèrent dans un endroit sombre. Quelques lumières et bougies étincellent. L'endroit est vide... Vide... Non, un homme, la soixantaine, regarde Eralwynn. Laura ne s'est aperçue de rien et s'est déjà éloignée. L'homme se lève et se présente, il s'appèle Oscar. Il semble ému.

Son visage lui rappelle quelque chose. Elle a du mal à se souvenir. Qui peut-il bien être ?

Puis, petit à petit, la mémoire lui revient. Il était là, dans cette taverne, les quelques jours où elle avait demeuré ici.

Elle se souvient même qu'il lui avait écrit un petit mot. Qu'est-ce qu'il disait déjà ? Ah oui, il voulait la rencontrer, il avait l'air triste à l'époque. Elle s'était même sentie coupable pendant un moment, puis elle avait oublié. Aujourd'hui, par contre, il avait l'air bien. Il avait vieilli, certe, mais plus rien dans son regard n'avait l'air vraiment triste. Elle décida de s'asseoir avec lui, de manger quelque chose et de parler. Elle aussi en avait besoin. Comme ils étaient deux inconnus, ils pourraient tout se raconter sans crainte.

Cela faisait vingt ans qu'il n'avait pas vu ses enfants, c'était le seul regret qu'il avait. Demain, pour Noël disait-il, il les retrouverait. Il était plein d'espoir.

Quant à elle, elle allait rester un peu ici pour se reposer. Et puis, dans quelques temps, peut-être un mois, peut-être plus, elle repartirait et reverrait Khalil.


FIN

mardi, février 14, 2006

Atelier Jodoigne - Part V

Eralwynn était assise sur un banc à l'entrée du village. Elle profitait à présent du calm et de la lumière orangée du couché de soleil. C'était étrange. Malgré les 20 années écoulées et la guerre sanglante enfin terminée, le petit village n'avait pas changé d'un pouce. Elle en était partie pensant qu'elle n'y reviendrait plus, la peur au ventre et des pensées sombres dans la tête.

Aujourd'hui pourtant, elle était de retour, l'esprit enfin vide et en paix. Bientôt, elle le savait, ses cicatrices ne la feraient plus souffrir.


Un peu plus loin, sur la gauche, elle perçut un mouvement. Il y a peu de temps encore, elle aurait été immédiatement sur ses gardes. Heureusement, elle pouvait enfin commencer à perdre cette habitude. Elle n'y prêta d'ailleurs quasiment aucune attention.

Quelque instants plus tard, le bruit furtif recommença, plus proche cette fois. Ça se rapprochait. Ses réflexes ne l'ayant pas encore totalement abandonnée, elle se retourna sortant son épée devenue légendaire de son fourreau dans un même mouvement.

Dans l'ombre, elle la reconnu. Laura était là, un grand sourire aux lèvres. Cela faisait un long moment qu'elles ne s'étaient plus vues. D'ailleurs, jusqu'à ce moment, Eralwynn ne savait pas si son amie était toujours en vie.

Aujourd'hui, les deux guerrières se retrouvaient enfin. Dans ce village où, de nombreuses années auparavant, elles s'étaient rencontrées.

La veille de son départ, Eralwynn avait essayé de convaincre Laura de l'accompagner. Sur le moment, elle n'y était pas parvenue. Pensa-t-elle. Or, quelques temps après, peu avant qu'elle n'ai trouvé Khalil et Maître Marius, elle l'avait rattrapée.

Et l'aventure avait alors commencé.

Aujourd'hui, tout était fini. Avant de se séparer, elles avaient décidé, que si elles étaient encore en vie, elle se retrouveraient dans cette auberge où elle s'étaient connues.

Laura avait apparemment aperçu Eralwynn en entrant dans le village et avait voulu lui faire une blague, comme d'habitude. Cette mauvaise manie qu'avait Laura de lui faire tout le temps des farces l'avait toujours agacée. Avec le recul, elle se rendait pourtant compte que ça lui avait rendu service. Cela lui avait appris une bonne partie de ses réflexes.

À présent, elles traversaient le village, sereines, se dirigeant vers cette fameuse auberge. Partout, les maisons étaient décorées de mille petites lumières. Les rues étaient bordées d'arbres plantés pour l'occasion. Leurs branches étaient décorées de bougies et de guirlandes. Une grande fête se préparait.

Voilà, elles se tenaient devant la porte de l'auberge et se préparaient à entrer.

(à suivre...)

lundi, février 13, 2006

Atelier Jodoigne - Part IV

Cela faisait désormais plusieurs jours qu'Eralwynn logeait dans cette petite auberge, et elle avait commencé à faire connaissance avec quelques personnes. Elle avait longuement discuté avec Laura, une jeune guerrière téméraire et rebelle, en qui elle voyait une alliée fiable pour l'avenir.


Il était maintenant temps de repartir. Elle avait attendu encore et encore, se demandant si Galipine allait finir par arriver et lui livrer le message du Grand Sage. Mais si elle attendait plus longtemps, elle s'en irait trop tard. Le lendemain, elle partirait. Il lui faudrait alors tenter de trouver Khalil et Marius. Elle sentait que ça ne serait pas aussi simple.

Elle commençait tout doucement à somnoler quand lui vint l'idée de proposer à Laura de l'accompagner.

Après être descendue aux cuisines demander qu'on lui prépare un paquetage de nourriture pour le lendemain à l'aube, elle se dirigea vers la chambre de Laura pour tenter de la convaincre de partir avec elle.

(à suivre...)

vendredi, février 10, 2006

Atelier Jodoigne - Part III

Le ciel était pourpre. Elle se trouvait au pied d'une immense tour. Il régnait dans l'atmosphère quelque chose de difficile à déterminer. Il faisait très chaud, beaucoup trop lourd et humide pour la saison.

Elle avança de quelques pas vers la porte qui lui semblait reculer tandis qu'elle s'en approchait. C'était sûrement à des kilomètres.

Elle connaissait cette tour. Elle l'avait déjà vue, mais elle était différente. Elle avança encore un peu.

Elle se retrouva dans une pièce vide aux murs faits d'énormes pierres. Elle devait être dans la salle des sacrifices, tout en haut de la tour.

Khalil et Maître Marius étaient là, eux aussi. Le premier tentait d'allumer un feu alors que le second parcourait un livre très ancien en passant le doigt de gauche à droite sur les pages.

Tout à coup, un bruit assourdissant. Khalil se précipita vers la fenêtre suivit de près pas eralwynn. Dehors, au loin, un nuage de poussière était soulevé par des centaines de chevaux.

La voilà à présent dans une sorte de cachot. Quelqu'un dans un coin sombre était replié sur lui-même. La loudre porte de bois s'ouvrit à la volée et une silhouette s'approcha d'elle.

Dans son lit de l'auberge de Levadan, Eralwynn se réveilla avec une migraine à lui arracher des larmes de douleur.


(à suivre...)

mercredi, février 08, 2006

Atelier Jodoigne - Part II

A des centaines de kilomètres de là, Eralwynn est loin de se douter de ce qui se prépare.


Hier, elle a décidé qu'il était temps pour elle de quitter cette forêt qui l'avait vue naître et dont elle ne s'était jamais éloignée depuis.

Elle ne savait plus au juste pour quelle raison elle devait partir. Depuis plusieurs jours, elle sentait que quelque chose l'y poussait. Elle devait s'en aller. Elle attendrait encore jusqu'au lendemain matin, puis elle s'en irait. Tant pis pour le message, elle s'en passerait.

Elle resta là encore quelques instants et finit par aller se coucher.


Le lendemain, à son réveil, elle s'aperçut qu'Aanor avait déjà préparé ses affaires.

Ah, cette chère Aanor, elle était probablement celle qui allait le plus lui manquer. Depuis leur plus tendre enfance, elles ne s'étaient jamais quittées. Pourtant, cette fois, ça allait arriver.

Elle prit les deux petites basaces et sortit chercher son amie pour lui dire au revoir. Quand elle la trouva, celle-ci était en train de lui préparer de quoi manger sur la route. Elle mit la nourriture dans une troisième besace qu'elle tendit à Eralwynn. Elle se regardèrent droit dans les yeux, et, d'un coup, fondirent en lrame dans les bras l'une de l'autre. Elle n'était pas de la même Caste mais depuis toujours, elles s'étaient entendues comme deux soeurs, et tout le monde, après quelques réticences, avait fini par l'accepter.

Elles finirent par sécher leurs yeux rougis et éclatèrent de rire en se ragrdant à nouveau. Ce rire leur fit un bien fou, mais elles savaient qu'il cachait quelque chose d'autrement plus grave et sérieux. Galipine n'était toujours pas arrviée, et il était grand temps qu'Eralwynn parte.

Finalement, après avoir dit aurevoir encore une fois, elle prit la route.


Elle marcha alors durant trois jours et trois nuits à travers la forêt avant de commencer à en percevoir la fin. Une fois sortie, il resterait encore une journée complète pour arriver au village de Levadan.


Le soir du quatrième jour, elle commença à voir quelques maisons sur le bord de la route et celles-ci devenaient de plus en plus rapprochées. Elle arriva enfin devant l'auberge dans laquelle elle devrait rester quelques temps.


La main sur la poignée, elle hésita. Cela marquait le début d'elle ne savait trop quoi. Il lui serait impossible de revenir en arrière. Elle finit cependant par pousser la porte pour pénétrer dans un espace bruyant et enfumé. Les gens mangeaient, buvaient, fumaient et parlaient tous plus fort les uns que les autres. De la cuisine lui parvenait une odeur de sauce au vin blanc. Elle se dirigea vers le comptoir, demanda la clef d'un chambre et sortit presque aussitôt.

Elle gravit les escaliers, arriva au troisième étageet alla jusqu'au bout du couloir où se trouvait sa chambre. Elle entra.

Il s'agissait d'une pièce minuscule, meublée modestement. Cela ne la gênait pas, elle n'était ici que pour quelques jours de toute façon.

Elle se coucha sur le lit qui, finalement, était plus confortable qu'il n'y paraissait. De là où elle se trouvait, elle pouvait englober toute la pièce en un seul regard. Elle jeta un coup d'oeil par la fenêtre.

Sans s'en rendre compte, elle s'endormit. Quand elle se réveilla, la nuit était déjà bien avancée. Elle ne savait pas d'ailleurs ce qui l'avait tirée de son sommeil, quand elle entendit des pas précipités dans l'escalier. Dehors, les gens semblaient agités. Elle se leva pour regarder par la fenêtre. Il y avait dans le jardin plusieurs bataillons de guerrières.

En soi, ça n'avait rien d'étrange. Depuis la mort du Grand Prêtre, on en voyait postées dans tous les villages. Ce qui était plus inquiétant, c'était de les voir en si grand nombre. Surtout ici, dans ce petit hameau sans importance politique.

Eralwynn, trop épuisée pour y réfléchir, se rendormit.



(à suivre...)

mardi, février 07, 2006

Atelier Jodoigne - Part I

Il y a de ça 3 ans (pfiou, ça ne nous rajeunit pas ça madame !!!), j'ai suivi un atelier d'écriture à Jodoigne se déroulant en 6 épisodes.
Je vais donc poster ici le résultat de cet atelier.
Au sortir du dernier, j'étais assez satisfaite... En effet, le "prof" nous avait fait faire divers exercices qui nous ont en fin de compte permis d'avoir un début et un fin (ma bête noire, ces fins !!!).
Il n'y a pas réellement de "milieu", mais j'étais quand même contente parce que j'avais quelque chose de commencé et de clôturé.
Avec le recul (hier, j'ai relu la chose pour la première fois depuis), évidemment, j'étais pas mal moins enchantée... Enfin, pas grave... Je poste quand même ! En plusieurs étapes, sinon, j'ai bien peur que ça fasse un peu long, tout d'un coup...

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Khalil arrive dans la grotte du Maître. Il faisait aussi sombre ici que dehors. Le vent et le froid réussissent à s'infiltrer à l'intérieur malgré le feu réconfortant qui se trouve au centre de la grotte.

- Maître Marius ?

Le vieillard hocha légèrement la tête.

- Maître, il faut que vous sachiez.

Galipine devait retrouver Eralwynn dans la forêt avant l'aube. Il fallait qu'elle lui livre un message que lui avait confié le sage de la Steppe Sauvage : "Un jour, tous les héros réchaufferont l'air et nous pleurerons jusqu'à la fin des temps." Elle n'avait aucune idée de ce que ça pouvait vouloir dire mais Eralwyn devait comprendre. Seulement, elle est arrivée trop tard. Eralwynn était déjà partie. On m'a demandé de venir vous chercher. Il va se tenir un conseil dans le village voisin. La guerre est proche. »

Comme à son habitude, le visage du Maître n'a pas changé, il est resté aussi gris, sans la moindre expression. À la grande surprise de Khalil, Marius avait cependant fini par se lever et s'était dirigé sans l'ombre d'une hésitation vers la sortie de la grotte. C'était la première fois depuis sa naissance qu'il le voyait sortir de son refuge.


Les choses allaient vraiment très mal.


(à suivre...)

mercredi, février 01, 2006

Premier texte

Allez... Je me lance. Voici le tout tout premier texte que j'ai écrit. C'était en 1999 !
Ce n'est pas forcément très abouti, mais je vous laisse seuls juges.
La partie en vert était le sujet qui a lancé la suite du texte...

Une femme est assise, seule, dans une maison. Elle sait qu'elle est seule au monde ; quoi que ce soit de vivant est aujourd'hui mort. On sonne à la porte. Son coeur, depuis si longtemps endormi, se met à battre la chamade.

Elle se décide à se lever et à aller ouvrir.

Ce n'est pas facile. C'est vrai, affronter la vie après s'être persuadée que celle-ci n'existe plus, ça n'a rien de commode.

Elle approche doucement de la porte en retenant sa respiration, pose la main sur la poignée et...

Évidemment ! Elle aurait dû y penser plus tôt : devant elle, tout est désolation, tout est vide, tout est mort. Comme souvent, son imagination lui a joué un très mauvais tour.

Elle referme la porte. Elle n'en peut plus. Ça fait maintenant bien trop longtemps que ça dure, il faut qu'elle sorte. Il le faut, elle le sent.

À côté d'elle, il y a une petite penderie. Elle ouvre un battant et en sort un vieux manteaux. En posant la main dessus, elle éprouve une étrange sensation, comme si on lui pressait le coeur. Cesont les souvenirs qui remontent.

Mon Dieu, tout ce qu'elle a pu vivre avec ce manteau : les petites balades le dimanche matin avec le chien, les sorties avec les copains, son premier rendez-vous... Tout ça, c'était avant que « ça » n'arrive. Ah, si seulement « ils » n'avaient pas été si bêtes.

À présent, ele se promène dans les rues désertes de ce qui fut une ville animée. C'est tellement... surnaturel vu comme ça. Avant, tout était toujours bondé de monde : le salon de coiffure tout le temps plein de ces bavardages typiques, le café des Italiens, la rue marchande avec toutes ces boutiques à la toute dernière mode... Maintenant, c'est fini.

Elle continue d'errer, un minuscule espoir au coeur. Oh, finalement, à quoi bon ? Elle se demande pourquoi. Malheureusement, elle sait très bien, mais c'est difficile à admettre.

Derrière, un mouvement. Il est insignifiant, pourtant elle en est sûre, quelque chose a bougé.

Elle se retourne, c'est certain il y a quelque chose.

Face à elle, une maison devancée par des arbres d'un vert si pur, il y a tellement d'années qu'elle n'en a pas vus.

Combien de temps au juste, trois ans, peut-être dix, elle ne sait plus. Oh, et puis peu importe, ce n'est pas le moment de penser à cela.

À pas lents, hésitants, elle se rapproche. Il n'y a plus de doute, quelque chose, ou non, quelqu'un vit dans cette maison et est en train de la regarder de la même manière qu'elle doit être en train de le faire.

Encore un pas. Maintenant, ça y est, à travers la fenêtre, elle s'aperçoit. C'est un homme. Celui-ci s'apprête à sortir. Enfin, tout va peut-être pouvoir recommencer comme avant.

Soudain, le vent se lève. Un vent terrible. Ensuite, c'est un bruit assourdissant suivi d'une lumière si vive, c'est insoutenable, on n'y voit plus rien. Cela paraît durer des heures.

Puis, peu à peu, les choses se rétablissent, le bruit s'éloigne, la lumière s'affaiblit, le vent s'est arrêté, brusquement.

La rue est totalement vide à présent. Vide...


Un homme est assis, seul, dans une maison. Il sait qu'il est seul au monde ; quoi que ce soit de vivant...

vendredi, janvier 27, 2006

Suite du syndrome

Bon, puisqu'on en est aux confidences... Il y a un autre problème qui se pose quand à ma "mise à l'écriture" ...

J'ai une frousse pas possible !!! C'est particulièrement ça qui m'empêche de m'y mettre...
Et si rien de convenable ne sortait de ma plume (ou de mon clavier) ?! Et si ça ne plaisait à personne ?!
C'est principalement ça qui, un fois installée devant une feuille blanche, me bloque... et je préfère alors me remettre à lire des pages déjà noircies, déjà publiées et critiquées... C'est beaucoup moins risqué, et ça me convient peut-être mieux... Allez savoir !

mardi, janvier 24, 2006

Dilemme...

Mon problème est toujours le même... Savez-vous ce que c'est d'avoir très envie de faire quelque chose, mais d'être tellement obsédé par autre chose que vous ne parvenez même pas à vous y mettre ?!
C'est mon cas... En effet, j'aimerais énormément écrire, mais je passe tant de temps à lire que ça me bouffe tout ! Si seulement j'arrivais un jour à la fin de ma liste de lecture que je puisse enfin me dire "bon, maintenant que je n'ai plus rien à lire, je vais pouvoir me mettre à écrire"... Mais la liste ne cesse de s'allonger !!!! Encore et toujours...

Que faire ?

Je ne sais toujours pas...

Mais il va falloir que je m'efforce de m'y mettre parce que, sinon, je crois que je vais finir très frustrée !

Mais, le malheur, c'est que lire est devenu pour moi comme une drogue... Je ne peux plus m'en passer !!! Jamais !
Qui plus est, comme par hazard, je m'arrange toujours pour tomber sur des bouquins qui se déroulent en 2-3 volumes (minimum) !!! A croire que je le fais exprès !!!

Enfin voilà, je vais prendre la résolution de m'y mettre après avoir fini le dernier volume de la série de trois que je suis en train de lire...

Promis, demain, j'arrête !

Attention... Lire ne nuit absolument pas à la santé !

samedi, janvier 21, 2006

Concours de nouvelles fantastiques

Avis aux amateurs (Bulle, ça vaut aussi pour toi...) !

Un concours de nouvelles fantastiques est organisé en France par La Clef d'Argent (éditeur associatif spécialisé dans la littérature fantastique) et Atemporel.com...
Envoi des nouvelles (une par participant) avant le 1 mars 2006 (cachet de la poste faisant foi).

Pour plus de renseignements, consultez l'adresse suivante : http://clefdargent.free.fr//concours.php

A bon entendeur...

jeudi, janvier 19, 2006

Premier cours

Voilà. Hier, j'ai suivi mon premier "cours d'écriture" (par correspondance). Je me suis empressée d'envoyer mon devoir le soir même pour pouvoir avoir le cours suivant le plus vite possible !
Je ne vais encore rien publier... Les textes présentés ne sont faits que pour nous faire comprendre qu'on peut toujours avoir de l'imagination...

Espérons que cela se vérifiera !

mercredi, janvier 18, 2006

Pour s'entraîner à l'écriture "théorique"

Voilà, c'est fait... Il y a de ça quelques jours, je me suis inscite à des "cours d'écriture par correspondance". Je compte dessus pour m'aider à vaincre certains bloquages qui me restent, tels que les dialogues, les fins, et j'en passe et des meilleures.
Aujourd'hui matin, j'ai reçu le premier cours....

Wouh que j'ai hâte !!!

Il se peut que je publie ici l'un ou l'autre des textes fait en exercices... surtout si j'ai de bonnes notes !!!

Bonne journée à tous...

Cours par correspondance de la Communauté française de Belgique, Le lien...

lundi, janvier 16, 2006

Bien le bonjour

Bien le bonjour à vous...

Voici donc mon nouveau blog rien qu'à moi... Ici je posterai divers textes que j'aurai écrits, des photos que j'aurai prises, des liens que vous devrez visiter, etc...

Je vous souhaite tout le plaisir possible en visitant mes pages...

A très bientôt.